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Avec plus de 150 ans d'expérience, France Telecom Marine, filiale du groupe France Telecom, est un acteur majeur pour la maintenance et la pose de liaisons sous-marines en fibres optiques.
La flotte câblière de France Telecom Marine est l'une des plus modernes au monde. Elle intervient dans toute la chaîne des activités câblières, depuis les études d'itinéraire,l'ensouillage jusqu'au post-ensouillage et la maintenance.
Opérationnels sur toutes les mers du globe, ses navires câbliers, le N/C Léon Thévenin, le N/C Raymond Croze, le N/C René Descartes sont équipés d'engins et robots sous-marins les plus perfectionnés conçus par sa filiale SIMEC. Le N/C Chamarel, propriété de Chamarel Marine Services - filiale de France Telecom Marine - maintient le système sous-marins SAT-3/Safe soit 20 000 km entre Dakar et la latitude de Diego Garcia depuis le Cap (Afrique du Sud).
Ses propres équipes d'experts, ingénieurs et marins, ses programmes de formation, de suivi qualitatif et ses méthodes de travail permettent à France Telecom Marine de maîtriser toutes les composantes de l'activité câblière.
L'expertise, l'efficacité et la qualité des prestations de France Telecom Marine sont mondialement reconnues lors des appels d'offres internationaux pour la maintenance et la pose de grands systèmes sous marins.
L'ensemble de ses réalisations fait la preuve de son expertise avec 124 000 kilomètres de câbles sous-marins en fibres optiques posés et plus de 410 opérations de maintenance effectuées sur fibres optiques.
Depuis 1996, les procédures de maintenance et de pose respectent les normes de qualité ISO 9002. Les navires câbliers ainsi que les bases marine de La Seyne-sur-Mer et de Brest sont certifiées ISO 14 001, normes liées au respect de l'environnement. France Telecom Marine et ses navires câbliers sont certifiés ISM (International Safety Management), code maritime international de la gestion de la sécurité.
Site internet : www.marine.francetelecom.com
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La liste des formations (définie par l'accord de branche du 8 février 2005) pouvant faire l'objet d'un contrat de professionnalisation maritime ou d'une action de professionnalisation maritime est la suivante :
1. Formations visant à l'exercice de fonctions d'officier
Ces formations concernent les candidats à un brevet d'officier de la marine marchande devant accomplir une période obligatoire de formation à bord d'un navire pour obtenir leur titre. Ces candidats sont les suivants :
2. Formations visant à l'exercice de fonctions d'appui
Ces formations concernent les titulaires d'un titre de formation professionnelle maritime nécessaire pour embarquer sur un navire en qualité de matelot polyvalent qui doivent accomplir une période de service à la mer de 6 mois, dont 3 mois au pont et 3 mois à la machine, pour obtenir les certificats de matelot de quart à la passerelle et de mécanicien de quart à la machine.
3. Autres formations
Toute qualification complémentaire à l'une des formations ci-dessus et requise pour l'exercice de fonctions particulières ou pour le service à bord de certains types de navires de commerce, prévue ou exigée à ce titre par les conventions, règlements ou organismes internationaux ou nationaux :
Je
suis un élève de la marine marchande de Marseille en première année. J’ai donc
eu la chance de connaître mon premier embarquement à bord d’un porte
containeur, le MAERSK GIRONDE mesurant 292 mètres de long. Ce bateau à été
spécialement construit pour pouvoir passer le canal de Panama, on appelle cela
un panamax.
Mon embarquement se décompose
en deux grandes parties, le pont et la machine. Ces deux univers sont très peu
comparables à ce que l’on peut rencontrer à terre, tant sur le rythme de travail
que sur l’environnement dans lequel on évolue.
En
ce qui me concerne, j’ai commencé par la partie machine. Le rythme de travail
est journalier, la journée commence à 8h00 jusqu’à midi, puis on reprend à
13h00 pour finir vers 17h30. Si un problème survient en pleine nuit, un seul
mécanicien, celui qui est de garde est réveillé afin qu’il trouve une solution
au problème. La salle des machines se décompose en plusieurs salles sur 4
étages de haut. Les différentes salles sont :
La salle du moteur principal qui est la plus grande et
la plus haute, le moteur est un moteur cathédral lent, 2 temps avec 10
cylindres en ligne.
La salle des séparateurs qui sont au nombre de cinq
avec leurs pompes et leurs réchauffeurs respectifs.
Un endroit réservé aux compresseurs d’air.
Deux salles qui comprennent chacune deux moteurs auxiliaires
dont le rôle est de fournir toute l’énergie électrique nécessaire au bon
fonctionnement du bateau.
Un atelier avec plein de pièces de rechange.
Le PC machine où sont centralisées toutes les informations
que fournit le moteur (température, niveau dans un réservoir ou une autre
caisse…)
Le travaille du zef (=élève)
est de relever un certain nombre de compteurs pour voir si le moteur tourne
bien rond ! Ensuite, on les reporte sur le log book qui est une trace
écrite de notre travail. Ensuite, le zef suit les différents mécaniciens pour
comprendre et si possible apprendre quelques manipulations qui serviront plus
tard !
Au
pont, par contre, le rythme de travail est complètement différent de celui que
l’on peut rencontrer à terre car on doit effectuer 8 heures de veille par jour
divisé en 2 quarts de 4 heures espacés de 8 heures. Durant ces heures de quart,
on a obligation de rester à la passerelle, et de s’assurer que nous ne sommes
pas en route de collision avec un quelconque autre bateau ou alors de vérifier
si nous suivons bien la route initialement prévue qui est sensée passer à coté
des dangers. En plus de ces heures de quart, les lieutenants sont assignés de
tâches qu’ils ne peuvent effectuer durant leur quart comme la tournée des
inventaires de sécurité du navire pour le lieutenant sécu ou le tracé des
routes futures sur les cartes pour le lieutenant navigation.
Lors d’une arrivée ou d’un
départ du port, tout le monde est réquisitionné pour effectuer la manœuvre
quelque soit l’heure.
A terre, les périodes de
quart sont plus longues car un quart dure 6 heures ce qui peut laisser un peu
de temps pour sortir en escale mais il faut aussi penser à dormir !
Au niveau d’un porte
conteneur, le rythme est plus souple lors d’une traversée de plusieurs jours que
lorsqu’on enchaîne les ports et que les escales durent entre 6 et 12 heures où
le rythme est beaucoup plus soutenu, où il n’est pas rare de dormir quand on
peut par période de 2 heures !
Le métier de marin permet de mettre les pieds un peu
partout dans le monde mais seulement pour quelques heures. Ce qui ressemble,
à mon goût, à des échantillons de voyage. Pour ma part, j’ai eu la chance
d’être sur une belle ligne car j’ai effectué deux tiers d’un tour du monde en
un peu moins d’un mois et demi ! Je suis parti du Havre pour ensuite
arriver à New York, Savannah, Miami, le canal et la ville de Panama, Los
Angeles, San Francisco, Shanghai, Yantian et Hong Kong où j’ai débarqué. Avant
mon débarquement, j’ai demandé à rester un peu à Hong Kong et donc de retarder
mon billet d’avion afin de pouvoir visiter plus tranquillement le pays. Je suis
donc rester cinq jours en Chine avec l’autre zef avec qui j’avais embarqué.
Cela reste quand même un bel avantage !
Le baptême est un rite d'initiation, ponctué d'étapes, qui cherche à reproduire une coutume nautique : "le baptême de la ligne" pratiqué par les marins qui franchissent l'équateur, considéré comme un passage difficile.
Dans un premier temps, les pilots sont amenés à se présenter à l'ensemble des participants, le visage peint en rouge et vert, couleur symbole de la signalisation des navires.
Ensuite, vient la phase de la vente des pilots. En effet, ceux-ci sont mis aux enchères après qu'un ancien élève de l'école est vanté le mérite de chacun des participants. Le pilot sera alors aux services de son acquéreur et parrain pendant une période de trois mois.
L'étape suivante est celle du défilé des élèves dans la ville
pour se rendre de l'école au bassin sur le port. Les élèves défilent
alors dans les rues en tirant une barque où s'est installé au préalable
le Grand Mât paré de son costume de l'Ancien Régime. L'arrivée au
bassin est animée par la venue de Neptune et Amphitrite, dieux de la
mer.
De retour à l'école, Neptune proclame son allocution: "Pilots, vous allez être baptisés, soyez-en dignes, et bienvenue dans le monde des marins". Suivie de celle du parrain et/ou marraine de ce jour si important pour les élèves.
Ces-derniers sont ensuite invités à déguster une soupe faite maison sans savoir qu'ils finiront la tête dans la marmite : ils sont enfin baptisés.
Les participants achèveront cette journée autour d'un banquet et se réuniront quelques mois plus tard pour le gala de l'école, la Nuit de l'Hydro.
A travers ces rites, ce sont les
qualités des gens de mer qui sont mis en lumière : se montrer
responsable, savoir s'adapter aux hommes et à un environnement
difficile.
Source : Maurice Duval, « Sous la protection de Neptune », Terrain, Numéro 24 - La fabrication des saints (mars 1995), mis en ligne le 8 juin 2007. URL : terrain.revues.org/document3125.html.
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Après trois belles années d'étude à l'école de Marseille, une fois la formalité de l'examen passée, le moment tant attendu arrive. La liberté de choisir la compagnie qui fera de nous des officiers et de découvrir un type de navigation nouveau.
Pour ma part, après un embarquement de première année à la CMA CGM sur la ligne Asie, un embarquement à la Britany Ferries en deuxième année, j'ai voulu découvrir la croisière pour mon troisième embarquement. J'ai donc contacté la Compagnie des Iles du Ponant, seule compagnie de croisière française (avec le Club Med 2), et j'ai eu la chance d'embarquer début octobre sur Le Levant.
J'ai rejoins le navire en Grèce, pour un mois de croisière en Afrique du Nord. Direction Marseille ensuite pour 15 jours d'arrêt technique très formateur et cap sur les Caraïbes pour la saison d'hiver. Au programme un tour presque complet de la mer des Caraïbes, des escales magnifiques différentes chaque jour et plus de 20 pays visités !
Une expérience incroyable pour cet embarquement de 5 mois, une excellente ambiance à bord et un travail parfois dur mais toujours intéressant grâce à une navigation très variée.
Je vous souhaite donc à tous, de trouver dans ce monde passionnant qu'est le milieu maritime, la navigation qui vous convient, et suis persuadé que nos sillages se croiseront bientôt.
Merci aussi à Marie Le Strat et à toute l'équipe qui anime ce site qui vous sera d'une très grande aide.
Après avoir passé deux mois en cours de première année à l'hydro, j’ai reçu ma lettre me confirmant mon embarquement en qualité d'élève officier stagiaire à bord du porte conteneur "Fort Sainte Marie" de la compagnie CMA-CGM.
C'est à Rouen que commença mon aventure qui allait durer deux mois et durant laquelle nous allions faire deux allers-retours sur les Antilles afin d'assurer pour l'essentiel le transport de la banane Antillaise vers la métropole et l'Europe.
Je fis connaissance avec l'ensemble de l'équipage, tant le personnel d'exécution Roumain que l'Etat Major (les officiers) Français.
Au cours de mon premier mois d'embarquement j'ai été au pont, c'est à dire m'intéressant à toute la partie navigation et conduite du navire. J'ai été à la machine pour mon second mois d'embarquement; m'intéressant ainsi à la propulsion du navire, par ce gigantesque moteur, mais aussi à la production de toute l'énergie électrique du bord tant pour l'éclairage, la ventilation et surtout l'alimentation des quelques 500 conteneurs frigorifiques remplis de Banane qu'il fallait maintenir à 12 degrés sous peine de faire mûrir les 40 tonnes présentes dans chaque conteneur!
Ce premier embarquement m'a réellement fait découvrir le métier d'officier de la marine marchande, parfois éprouvant, souvent exigeant, mais tout le temps passionnant.
Voila, je souhaite donc à tous les futurs élèves de belles navigations, qui je n'en doute pas, se réaliseront grâce à ce superbe service qu'est www.embarquements.fr et à toute l'équipe qui le fait vivre.
Jean-Marie BOTHOREL Elève officier 3ème année ENMM Le Havre
Discours de la marraine, Madame Marie LE STRAT, association La Touline
Monsieur Le Directeur, Mesdames, Messieurs, chers élèves, chers filleuls,
C'est
un grand honneur et un grand moment d'être la marraine d'une promotion
d'élèves; je ressens beaucoup d'émotions, elles sont d’autant plus
intenses, que nous sommes ici à Saint Malo, ville où j’ai des attaches
familiales. Permettez- moi d’avoir une pensée particulière pour mon
beau-père, pour mon époux, Armel ici à mes côtés, Malouin (fier de
l’être) et officier de marine marchande.
D'autres personnes
sont sans doute plus fières encore. Je pense à vos parents et amis.
Sans leur soutien, vous ne seriez peut-être pas là. Ce diplôme de chef
de quart machine, vous pouvez le leur dédier car vous savez mieux que
quiconque ce que vous leur devez.
Je voudrais également remercier vos professeurs. Ils ont partagé leur savoir, ils vous ont donné le meilleur d’eux-mêmes.
Derniers remerciements mais c’est moi qui vous les dois.
Je
suis touchée par vos attentes, votre exigence, vos inquiétudes;
j’apprends de vous à l’occasion de nos contacts, de nos échanges… Merci
pour cet enrichissement personnel.
J’en arrive à la seconde
partie de mon discours, celle où comme le veut la tradition, la
marraine adresse quelques messages à ses filleuls :
1er message donc, regardez devant, pas derrière ; croyez en vos capacités
Mon
2ème message est peut-être plus convenu : soyez fiers des valeurs que
vous apporte le métier de marin et entretenez les à savoir : la rigueur,
la ténacité, la tolérance et l’humilité. Elles contribueront à votre
réussite professionnelle et personnelle.
Mon 3ème message (et je
vous rassure ce sera le dernier) tournez vous vers l’avenir, et pensez
aux générations qui vous suivront, soyez des exemples, soyez
responsables et solidaires.
N’oubliez pas qu’être marin est un beau métier : « Ceux qui sont tombés amoureux de la mer savent que ce sera pour toujours ».
Je vous souhaite bon vent et bonne mer promotion « Jagger Seam » et n’oubliez pas que je serai là.
Merci encore.
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Hydro
du Havre
L'équipe 2007-2008 du bural :
- Le grand mât : Yvain RICHARD
- Mât de misaine : Etienne LECUYER
- Trésorier : Pierre DE LAVALETTE
Retrouvez l'actualité du bural de l'hydro du Havre sur http://aemmsa.free.fr
Hydro
de Marseille
Hydro
de Saint Malo
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La Touline vous invite à participer à son Assemblée Générale Ordinaire qui se tiendra le samedi 17 mai 2008 à 10h au Lycée Maritime du Guilvinec.
A l’issue de la réunion, Armel LE STRAT, et
Philippe BOTHOREL, directeur du lycée, présenteront le défi des ports
de pêche, manifestation sur laquelle La Touline et le Lycée Maritime
sont partenaires.
L’inauguration du site www.embarquements.fr s’est déroulée le samedi 14 avril à Brest sur le village de la 39 ème Course de l’EDHEC.
La Course - Croisière EDHEC est une régate organisée par des étudiants de l'Edhec, qui se déroule chaque année aux alentours des vacances de Pâques. Elle regroupe plusieurs miliers d'étudiants d'origines diverses, le plus souvent issus de cursus d'études supérieures (Grandes Ecoles de Commerce et d'Ingénieurs). Depuis une dizaine d'année, elle a lieu le plus souvent dans les ports de Brest, La Rochelle et Les Sables d'Olonne. Elle est aussi l'occasion d'un raid sportif, le Trophée Terre, et d'animations diverses sur le Village de la Course.
Au cours de cette 39ème édition, La Touline était partenaire des Ecoles de Marine Marchande du Havre ou de Marseille.
La présentation du site a eu lieu à 17 heures en présence des élèves, de représentants de compagnies maritimes, de directeur d’organismes de formation (Ecole de la Marine Marchande du Havre, du Lycée Maritime du Guilvinec) et de journalistes.
Armel LE STRAT, Président de La Touline, et Eric TRON, directeur de la société ETC et webmaster, ont présenté le site aux 60 personnes présentes.
A l’issue de l’inauguration, toutes les personnes présentes se sont retrouvées autour d’un cocktail.
Il existe deux niveaux de formation dans les ENMM : officier de 1ère classe et officier pont et machine.
1. La filière de formation des officiers de 1ère classe de la marine marchande, dite filière académique :
Elle prépare à l’exercice des fonctions d’officier polyvalent à bord de tous types de navires. L’officier est appelé à exercer, en toutes circonstances d’exploitation des navires, des fonctions de responsabilité tout en assurant, en permanence, la gestion de la sécurité.
2. La filière B dite « filière professionnelle » est monovalente, pont ou machine :
A. Filière professionnelle Pont
Elle est ouverte aux détenteurs du brevet de capitaine 500 ou d’autres titres Pont extérieurs à la marine marchande (titres pêche, marine nationale ou étrangers) après un cours de mise à niveau de 5 à 6 semaines. Elle est constituée de la succession des cours de chef de quart passerelle (5 mois), de capitaine 3000 (5 mois) et des brevets correspondants après un temps de navigation exigé. Les marins détenteurs du brevet de capitaine 3000 peuvent avoir ensuite accès au cours de capitaine illimité.
B. Filière professionnelle Machine
L’accès se fait par voie de concours, niveau 1re STI pour la formation de chef de quart Machine. Il est ouvert, d’une part aux professionnels titulaires d’un brevet de mécanicien 750 kW ou d’un BEP de mécanicien à l’issue d’un cours préparatoire d’un an (facultatif) ou d’un Bac pro, et d’autre part aux candidats lycéens. Le parcours est semblable au précédent mais avec des durées de formation plus longues : cours de chef de quart Machine (2 ans) puis cours de chef mécanicien 15000 kW (5 mois) et des temps de navigation obligatoires. Les marins détenteurs du brevet de chef mécanicien 15000 kW peuvent avoir ensuite accès au cours de chef mécanicien illimité.
Schéma de la filière B pont et machine
Ce système éducatif, clair et cohérent, assure aux marins une formation d’officier de qualité qui leur ouvre des perspectives de carrière intéressantes et variées.
Source : www.mer.equipement.gouv.fr
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Pour plus de renseignements : www.legifrance.gouv.fr
Lorsqu'un marin navigue sous statut freelance, il ne peut pas bénéficier de la couverture sociale du régime général des marins (Enim).
Il doit alors se rapprocher d'un organisme privé de protection sociale pour être couvert pour :
Pour des informations complémentaires, vous pouvez consulter les sites suivants :
Source : (1) www.mer.equipement.gouv.fr/enim
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Pendant leur scolarité, les élèves des écoles de la marine marchande sont affiliés obligatoirement au régime de sécurité sociale des marins.
Qui peut en bénéficier ?
Tout élève régulièrement inscrit dans un établissement d'enseignement maritime.
Les conjoints et enfants des élèves sont aussi affiliés par l'Enim, s'ils ne bénéficient pas d'une couverture sociale à titre personnel.
Conditions
En début d'année scolaire chaque élève s'acquitte auprès de l'école d'une cotisation forfaitaire égale à :
celle du régime général pour les formations au diplôme d'officier (soit 192 euros pour l'année scolaire 2007/2008), la moitié de celle du régime général pour les autres formations (soit 96 euros pour l'année scolaire 2007/2008).
Les élèves boursiers sont exonérés de toute cotisation.
Pièces à fournir
Quelle protection sociale ?
Le régime (Caisse générale de prévoyance - CGP) couvre les risques de maladie, d'accident ou d'invalidité.
Accident et maladie pendant la période des cours (hors congés scolaires)
L'élève est remboursé pour la maladie, dans la limite des tarifs de la sécurité sociale :
En cas d'accident
En cas d'accident, l'élève perçoit les prestations en nature de l'assurance accident du travail maritime et, s'il y a lieu, une pension. L'accident doit s'être produit dans l'école même ou en dehors si l'élève était sous la surveillance directe d'un membre du personnel de l'école.
Le directeur de l'établissement doit alors transmettre à l'Enim un rapport précisant les circonstances de l'accident.
Accident et maladie en dehors de la période des cours
L'élève perçoit le remboursement des frais avec une éventuelle application du ticket modérateur dans la limite des tarifs de la sécurité sociale.
Accident et maladie lors d'embarquements
L'élève perçoit le remboursement de ses frais et, s'il y a lieu, le versement d'une pension d'invalidité. En cas d'accident, le responsable de l'entreprise doit transmettre un rapport circonstancié accompagné de la convention de stage à l'Enim.
Outre le remboursement de ses frais et, s'il y a lieu, le versement d'une pension d'invalidité, l'élève peut percevoir des indemnités journalières (IJ) en cas d'arrêt de travail prescrit par un médecin (base de calcul : la 3ème catégorie de classement des marins pour l'élève officier, la 1ère pour le jeune sous contrat de qualification). De plus, ces embarquements ouvrent droit à pension sur la CRM (sauf pour certains élèves étrangers).
La prise en charge des soins (prestations en nature) est la même que pour un embarquement à l'initiative de l'école, mais il faut se renseigner auprès des services de l'Enim ou des affaires maritimes (voir "pour en savoir plus" en bas de page) pour vérification des conditions d'embarquement (convention, ...). Dans le cas des apprentis, qui ont un contrat d'apprentissage maritime et perçoivent une rémunération, ils peuvent, en plus des prestations en nature, bénéficier des indemnités journalières calculées sur la base du salaire afférent à leur dernière catégorie de classement ou, éventuellement, du salaire minimum.
Questions/réponses
Oui, et elle est obligatoire pour exercer la profession de marin. Il s'agit d'une visite médicale "d'aptitude à la navigation" qui ne peut être passée qu’auprès d’un médecin des gens de mer, seul habilité à juger de cette aptitude.
Oui, dès la rentrée et, une fois la cotisation versée, l'élève est assuré à l'Enim. Même s'il n'a pas reçu de Carte Vitale, il peut adresser ses demandes de remboursement au centre dont il dépend (se renseigner auprès des services sociaux ou administratifs de l'établissement). Pour savoir de quel centre vous dépendez, cliquez ici. (fichier Pdf - 17Ko)
Oui, en qualité d'élève il est assuré par la Caisse générale de prévoyance. Il ne peut néanmoins être porté au rôle d'équipage et percevoir des indemnités journalières car il n'a pas de contrat, donc pas de salaire.
L'élève, s'il ne relève pas d'un autre régime de sécurité sociale obligatoire, bénéficie du maintien de ses droits aux prestations en nature, durant quatre ans au plus.
S'il y a accord entre le régime social du pays et l'Enim, le jeune marin français peut choisir, pendant une durée déterminée par la convention liant le pays du pavillon à l'Enim, de valider ses services étrangers à l'Enim ou de cotiser au régime étranger.
Source : ENIM - www.mer.gouv.fr/enim - Place de Fontenoy 75700 PARIS 07 SP
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