Retrouvez le nouveau site sur l'adresse :
Retrouvez le nouveau site sur l'adresse :
Nous avons la possibilité d'embarquer des élèves dans le service machine sur des bateaux école de la marine nationale à Brest. La durée peut atteindre 1 mois.
Les élèves intéressés peuvent nous contacter d'urgence au 02 98 43 49 38 ou par mail a: [email protected]
Paul OTTAVI (élève 2ème année - ENSM Marseille) a pu effectuer son stage sur un navire d'une compagnie européenne dans le cadre de la convention signée entre La Touline et l'ENSM.
Mon embarquement sous pavillon international
Je suis actuellement élève en troisième année à l’Ecole Nationale Supérieure Maritime de Marseille. Pour mon stage de deuxième année, je souhaitais embarquer sous pavillon étranger. Afin de découvrir un nouvel environnement de travail et surtout mettre à l’épreuve mes connaissances en anglais. Rien ne remplace un « bon » bain linguistique pour développer son vocabulaire et sa syntaxe.
Les difficultés rencontrées par mes camarades et moi-même pour trouver un stage d’embarquement, suite à la mise en place de la réforme de notre école, m’ont conduit à solliciter l’aide de l’association « La Touline » dont la bonne connaissance du domaine maritime et l’investissement auprès des plus jeunes (en particulier celui de Madame Le Page) m’ont permis d’embarquer cinq semaines au sein de la Compagnie Belge AHLERS MARITIME. La compagnie possède plusieurs chimiquiers (sous pavillon Chypriote) de 90m de long pour un port en lourd de 3000 T. Leur faible tirant d’eau de 4 m autorise la navigation fluviale.
J’ai rencontré à bord du « Puccini » des navigants compétents et passionnés dont la disponibilité et l’empressement à faire partager leurs connaissances et expériences m’ont rendu rapidement autonome. Aucune de mes questions n’est restée longtemps sans réponse.
En navigation, j’ai effectué plusieurs quarts à la mer, seul en passerelle à 80% du temps. Gouverner le navire en manuelle dans le canal de Kiel sous les ordres des pilotes allemands restera un moment fort de mon séjour à bord, gestion du stress obligatoire.
Toutes les taches relevant des compétences spécifiques du technicien pompiste du bord (maintenance des systèmes, contrôle de qualité, sécurité lors des chargements et déchargements, nettoyage et dégazage des citernes) n’ont « presque » plus de secrets pour moi.
A quai, le commandant m’a associé au travail du second capitaine. Cela m’a permis d’acquérir une vision d’ensemble des opérations commerciales sur un tanker (procédures administratives lors du chargement et déchargement) ainsi que sur la tenue des documents du bord (journal de bord, corrections) et enfin sur tout ce qui fait le quotidien d’un officier (calcul de marée, avitaillement, calcul du chargement, ballastage, pilote, météo, départ, accostage, mouillage, calcul de route, etc.)
La vie à bord malgré le rythme soutenu imposé par le « tramping » est restée agréable et cordiale tout au long de l’embarquement. La communication à été grandement facilitée par la bonne humeur générale de l’équipage Philippins, Polonais et Ukrainiens. Mes progrès en anglais sont d’ailleurs spectaculaires. Je suis resté en contact avec certains membres de l’équipage.
La navigation fluviale reste pour moi une découverte riche d’enseignement technique dans un cadre bucolique de paysages préservés dont je conserverais longtemps les images en mémoire.
Mon temps libre, lors de nos courtes escales sur des terminaux souvent éloignés des centres villes, ne m’a pas permis de jouer véritablement les touristes mais m’a tout de même autorisé quelques courtes escapades agréables en Suède, aux Pays Bas, en Allemagne et en Angleterre.
Mes contacts et échanges avec le personnel à terre de cette compagnie ont toujours été d’une rare cordialité. De plus, nos frais de transports sont remboursés intégralement (avion, train, taxi) ainsi que ceux de la visite médicale d’embarquement (dont la prise de sang). Nous bénéficions de la protection sociale et de la couverture maladie ENIM. Les vêtements et équipement de travail nous sont généreusement fournis. Mais il ne faut pas s’attendre à percevoir une grosse indemnité (environ 200 €).
Il faut noter que pour les formations polyvalentes comme la mienne, les embarquements sous pavillon étranger sont comptés monovalent (pont ou machine).
Je suis pleinement satisfait de cet embarquement et recommande vivement à tous d’effectuer un séjour au sein de compagnies étrangères. Leurs méthodes de travail et leur rythme différent de ceux que l’on peut vivre sous pavillon français peuvent être une source d’inspiration non négligeable et facilement transposable. Quant aux progrès réalisables en anglais ils sont tout simplement remarquables.
Paul OTTAVI
Mathieu COMBOT - Ecole Marseille
Après une année très formatrice et intense en émotion avec l’association du père Jaouen, il me fallait finir mes temps d’élève afin d’obtenir mon brevet. J’ai donc eu la chance de trouver un embarquement grâce à la Touline chez France Telecom Marine. Un embarquement de deux mois sur le navire câblier René Descartes.
C’est donc en Angleterre que j’ai rejoint le navire, au port câblier de Portland. J’ai tout de suite été très bien accueilli par l’ensemble des officiers (tous français) et de l’équipage (français et malgaches). Nous étions au total 70 personnes à bord en comptant également tous les missionnaires spécialistes dans la pose et la maintenance de câble sous-marin. J’ai pu me familiariser avec le bateau pendant 3 jours avant d’appareiller vers une zone de travaux au large de la côte est du Canada pour une mission d’une dizaine de jours par 5000 mètres de fonds. L’objectif était de changer plusieurs répéteurs (sorte d’amplificateur de signal) installés sur un même câble. Etant composé de fibres optique, un câble sous-marin peut transporter énormément d’information en même temps à la foi pour internet et pour la téléphonie. A partir d’une certaine longueur de câble, des pertes se créent affaiblissant ainsi le signal passant dans le câble. C’est pour compenser ces pertes que des répéteurs sont installés afin que les informations soient bien transportées jusqu'à la terre. La manipulation d’un câble restant très délicate et imposant des vitesses et routes fond très précises, le navire est équipé d’un système de positionnement dynamique très élaboré. Ce système automatisé permet un contrôle très précis du navire face aux éléments extérieurs que sont la force de la mer et le vent. En conséquence, la puissance nécessaire est adaptée aux besoins. En effet, le navire est équipé de quatre groupes électrogènes (2 démarrés en fonctionnement normal suffisent, 3 par météo défavorable et un prêt à démarrer en cas de souci) fournissant l’énergie nécessaire pour alimenter deux moteurs électrique de propulsion de 4000kw chacun, quatre propulseurs transversaux (deux à l’avant, deux à l’arrière) ainsi qu’un propulseur azimutale à l’avant.
Nous sommes donc partis de Portland pour rejoindre la zone de travaux à une douzaine de jours de mer. La météo nous a contraint à faire route plus au Sud afin d’éviter de fortes dépressions en Atlantique Nord. Bien sûre, au milieu de l’atlantique le trafic maritime n’étant pas trop stressant (un bateau par jour en vision tout au plus), je n’ai fait que de la machine.
En machine, une ambiance vraiment très bonne, je m’y suis vite senti bien. L’équipe des officiers se compose d’un chef méca et d’un second bien sûre. Mais aussi d’un officier diesel, responsable des quatre groupes électrogène (et tout ce qu’il s’y rattache, séparateur, bouilleurs...etc...) et d’un officier extérieur, chargé du bon fonctionnement de toute les machines extérieurs (principalement les installations frigo, les cinq propulseurs électriques, les machine à câbles tournantes et tout l’hydraulique du bord). Ces deux officiers sont accompagnés d’un maître diesel et d’un maître extérieur en général très expérimentés et donc d’une aide plus que précieuse (pour un élève, le mieux est de suivre les maîtres pour apprendre un maximum). L’équipe se compose également d’un maître électricien, un maître automaticien, trois ouvriers mécaniciens et un nettoyeur. Le contact avec les malgaches se fait très rapidement étant donné qu’il n’y a pas la barrière de la langue. Le travail en machine est donc très complet et varié donc très intéressant. J’ai beaucoup appris grâce à tout le monde .
Nous voici arrivé sur la zone de travaux. La mission peut commencer car la météo est plutôt favorable. Grâce au tracé théorique du câble que les missionnaires ont établis, nous pouvons ciblé à quelque kilomètres près où se trouve le câble. Pour ne pas endommager le câble, il est très important de suivre de façon précise le tracé du câble à vitesse très faible (entre 0.2 et 1.5 nds). Pour cela, nous disposons d’un logiciel très fiable en passerelle nommé « Espadon », indispensable en positionnement dynamique. La première étape va être de mettre une drague coupante à la mer pour couper le câble. Ensuite il faut aller relever une des deux extrémités à l’aide d’une drague relevante pour mettre l’extrémité sur bouée pour récupérer facilement le câble quand il s’agira de revenir le chercher. L’étape suivante consiste à aller relever l’autre extrémité du câble jusqu'à arriver au répéteur à remplacer. En mission de maintenance de câble, le commandant et le second capitaine
fonctionnent en quart de 12/12 au davier. Le davier, situé à l’arrière du navire, est le rouleau monté sur un axe destiné à filer ou relever le câble. Ce sont eux qui donnent tous les ordres par UHF de tout mouvement du navire au lieutenant de quart qui est devant la console du DP en passerelle. Le chef méca et son second fonctionnent également en quart de 12/12 aux commandes des machines à câbles. Ils sont accompagnés d’un ouvrier mécanicien aux ordres des adjoints au chef de mission. Sur le pont, pour toute manipulation du câble, des filins, de la bouée...etc, le bosco et les maîtres de manœuvre fonctionnent en quart de 4 heures. Avec eux, un chef de bordé et trois matelots tous dotés d’un grand savoir-faire pour toutes les manipulations. Et enfin pour les élèves, généralement ils accompagnent les lieutenants de quart à la passerelle pendant toute la durée de la mission. Et cela commence à devenir très intéressant quand l’officier nous laisse les commandes du DP.
Après avoir réussi cette mission sans problème conséquent, nous nous sommes dirigés vers la Nouvelle Ecosse, plus exactement vers le port d’Halifax. Une escale, bien méritée après trois semaines de mer sans voir la terre, pour faire une relève de tous les officiers et l’équipage français. La deuxième équipe s’est révélé aussi sympathique que la première, l’intégration pour un élève se fait assez rapidement. Il suffit d’y trouver sa place !
La seconde mission avait exactement le même objectif que la première. Les conditions météo ont été moins favorables mais l’objectif fut atteint. Nous avons ensuite fait route vers l’Europe, d’abord à portland pour décharger du câble, puis Brest et enfin Saint Nazaire, où je termine mon embarquement. Le navire partait ensuite pour une mission de pose de câble d’énergie pour recueillir l’électricité fournie par une future hydrolienne au large du Croisic.
Cet embarquement m’a beaucoup plu, de par la quantité mais aussi et surtout la qualité de toutes les choses que j’ai apprises à bord. Je remercie Mme Le Page et Mme Lestrat et l’ensemble de l’équipe de la Touline pour m’avoir offert cette opportunité après 6 mois de recherche. Dans ce climat très tendu dans le monde de la marine marchande pour les élèves et les jeunes officiers, une association comme celle-là se révèle d’une utilité primordiale. Merci à vous d’exister.
Commémoration de la seconde guerre d'indépendance américaine ;
Célébration des 450 ans de présence française en Floride (création de la ville de Jacksonville)
La Touline vous propose d’embarquer à bord de l’une des goélettes de la Marine Nationale : « Etoile » et « Belle Poule ». Cette proposition est réservée aux élèves des ENSM et des lycées maritimes avec la possibilité d’une reconnaissance du temps de navigation par l’Administration des Affaires Maritimes.
Si vous êtes intéressés, veuillez nous adresser un dossier de candidature à La Touline constitué d’un CV et d’une lettre de motivation pour le 10 février 2011 au plus tard. (Avec la mention : « Projet Transat 2012 »).
Coordonnées : La Touline 280, rue Jurien de la Gravière – 29200 BREST [email protected]
LES CONDITIONS LIEES A LA NAVIGATION
Départ prévu le 8 mars de Brest et Retour programmé sur Brest le 5 juillet
- 91 jours de mer
- 33 jours d’escale
- Nautiques prévus: 9143
- Le forfait journalier est de 9.60 euros
L’embarquement des élèves pour une partie de la mission est tout à fait envisageable. Dans ce cas, les frais de déplacement seront à la charge de l’élève.
Nombre de places attribuées à LA TOULINE : 3
DES OBJECTIFS CONCRETS
- Offrir l’opportunité à des élèves de provenance diverses d’embarquer sur les goélettes de la Marine nationale;
- Permettre à des élèves d’accroître leurs connaissances du monde maritime et des relations internationales ;
- Participer à une formidable aventure humaine
- Consolider les relations bilatérales;
- Participer à la célébration des 450 ans de présence française en Floride et à la création de la ville de Jacksonville;
- Participer à la commémoration de la seconde guerre d’indépendance des Etats-Unis lors de l’escale de New York (OPSAIL 2012);
LES PASSAGERS
- Les élèves de l’Ecole Navale et des écoles de la Marine Nationale ;
- Les élèves des écoles maritimes françaises et plus particulièrement les élèves des écoles de la marine marchande ;
- Des étudiants ultramarins ou de métropole ; en langues étrangères, en communication, en journalisme, en médecine…
- Les amis des grands voiliers;
dans Accueil, Actualité | Lien permanent
Guillain GREGO - Le Havre
"Tout d'abord je voulais vous remercier pour m'avoir permis d'embarquer sur l'Etoile et de vivre cette expérience particulière, un grand merci à vous car cela a été un bel embarquement très enrichissant.
Pour commencer l'accueil et l'intégration à bord s'est très bien passé, l'équipage était très sympa très pédagogue et jamais avare de conseils ou lassé de nos questions. C'est donc dans de bonnes conditions qu'ont débuté les premiers quarts en mer où l'on apprend ou revoit certaines bases comme les manoeuvres des voiles, la veille et le signalement des autres navires. Dès le départ le premier jour on a eu des belles conditions, une mer formée et pas mal de vent, on filait 20 noeuds à la voile c'était très plaisant et pratique pour voir comment le bateau marchait. Puis quand le commandant nous a sentis prets (j'entends par nous les 2 élèves de l'hydro du Havre) il nous a confié une nouvelle responsabilité: adjoint chef de quart; à nous de faire le point, de donner les ordres de manoeuvre des voiles, de préparer et d'effectuer une manoeuvre de mouillage, une entrée ou sortie de port, nous étions à la manoeuvre sous les conseils et les recommandations des chefs de quart et du commandant. Et je ne pense pas qu'au commerce avec les impératifs commerciaux, le pilote à bord, l'anglais comme langue de travail, je ne pense pas qu'au aurait pu faire autant et du coup apprendre de cette manière. Ca a été pour moi une surprise qu'on nous laisse à la manoeuvre sur un batiment militaire, certes un navire école mais militaire tout de même.
D'ailleurs il a été très intéréssant de voir les procédures et les façons de faire dans la marine nationale, les bons et les moins bons côtés.
Donc pour résumer un très bon embarquement avec de belles escales, de beaux mouillages, une bonne ambiance à bord et surtout une première experience en tant que futur dirigeant à bord, une experience très constructive."
Robin LEFEBVRE, Marseille
"J'ai embarqué sur l'Etoile du 24 juillet au 20 aôut 2011.
Tout d'abord en tant qu'élève de la marine marchande, on nous a confié à tour de role la fonction 1 (F1) qui est celle d'adjoint du quart. C'était très enrichissant car responsabilisant, le chef du quart n'intervenant qu'en cas d'erreur ou de manque de connaissances de l'élève. Nous devions donc quand c'était notre tour gérer la navigation durant le quart. On met ainsi en pratique les connaissances acquises lors de notre année scolaire ( école + embarquement). Mais il y a aussi l'apprentissage des manoeuvres des voiles et de la navigation entièrement sous voiles.
Ayant effectué mon stage de première année à bord d'un porte-conteneurs, la vision de la mer en est tout autre lorsqu'on se met à son niveau. Il n'y a certes pas de gros bateaux sur l'eau mais la goélette Etoile permet de ressentir tous les éléments et d'aiguiser le sens marin. C'est un bateau école comme on aimerait en avoir à l'Hydro!
Ensuite, l'équipage nous a très bien accueillis . C'est un équipage qui vit toute l'année ensemble et l'ambiance s'en ressent (très chaleureuse et conviviale).
Enfin, le voyage m'a permis de découvrir des escales et des paysages magnifiques. Deux mouillages, l'un en face d'Ibiza et l'autre au sud du Portugal. Des escales inoubliables à Eivissa, Cadix et Lisbonne!
Un stage dont je ne suis pas prêt d'oublier les instants et que je n'hésiterai pas à refaire si l'occasion se représentait. Un périple à bord d'une authentique goélette école bientôt agé de 80 ans est vraiment une chance et je tiens à remercier votre association de m'avoir permis de le réaliser cet embarquement ! "
Pour la seconde année consécutive, l'ENSM du Havre organise une des deux étapes de l'Hydro's Cup, cette régate a pour but de rassembler des écoles de l'enseignement maritimes européennes le temps d'un week-end au Havre autour d'un évènement festif et sportif. Elle permet la rencontre d'étudiants ayant la même passion et qui, plus tard seront amenés à travailler ensemble.
Depuis l'année dernière, l'Hydro's Cup se déroule sur deux étapes, la première à Marseille le 16,17,18 mars 2012 et la seconde au Havre le 31 mars et 1er avril 2012.
L'année dernière, l'Hydro's Cup du Havre a réunit une dizaine d'équipages venant de Belgique, d'Allemagne, d'Espagne, d'Angleterre et de France. De nombreux équipages étudiants étaient aussi réunit le même week-end à l'occasion d'une régate Havraise. L'étape s'est déroulé dans des conditions et une ambiance extraordinaire.
Cette année, l'Hydro's Cup du Havre reste sur le même concept : La régate se déroule en J80 (4 ou 5 personnes) devant la ville du Havre. C'est un évènement "all inclusive", c'est à dire que l'inscription comprend les repas, l'hôtel, la location du bateau, la soirée des équipages... Le but est de rassembler de plus en plus d'étudiants au fur et à mesure des années. Accueil et ambiance exceptionnels au programme !
Pour toutes informations :
Valentin LEMARCHAND
06 08 78 55 71
[email protected]
hydro-sailing-team.over-blog.com
Facebook : Hydro Sailing Team
dans Accueil, Hydro's cup | Lien permanent
La Touline et les Lycées maritimes réunis au défi des ports de pêche 2011, avec le soutien de Bourbon Offshore Surf, Manche îles Express, Louis Dreyfus Armateurs, Raguenes Marées, La Maison de Bricourt.
La Touline avec les lycées professionnels maritimes vous accueilleront sur le stand au village du défi.
Plus d'info sur : www.defidesportsdepeche.com
Nous avons le plaisir de vous informer que par décret en date du 8 juillet 2010 La Touline a été reconnue comme établissement d'utilité publique.
Pourquoi un site pour les élèves ?
Nous avons tous connu à l’entrée à l’hydro un pincement au cœur quand il fut question « d’embarquement ». Pour la plupart d’entre nous, le monde maritime était un monde à part : nous en faisions déjà un peu partie mais de façon timide, avides de faire nos preuves, de réaliser ces rêves d’adolescent…
La première étape était tout autre : contacter un employeur, oui mais lequel ? Écrire ? Se présenter ? Attirer l’attention, le convaincre enfin ! Cet homme a un drôle de nom : « Capitaine d’Armement » à une époque ou des acronymes barbares sont dans tous les journaux : DRH…
C’est néanmoins la porte d’entrée incontournable chez un Armateur.
dans Accueil | Lien permanent
Brendan Archin : jeune Skipper de 26 ans.
Diplômé Officier 1ère Classe - École Nationale de
Lieutenant polyvalent chez Bourbon Offshore Surf.
Après avoir écumé depuis une
dizaine d’années les plans d’eau, notamment ceux de La Trinité sur mer, le
Crouesty, Quiberon, Saint Quai-Portrieux, la rade de Marseille…, ce projet de
Mini Transat a mûri avec l’envie de plus
en plus pressante d’aller voir si la mer ne serait pas plus bleue derrière
l’horizon…
Bien plus qu'une simple course, la "Transat 6.50" est un projet à multiples facettes : recherche de partenaires, préparation du bateau, entraînements, courses du circuit Mini et de qualifications font parties de la préparation de cette grande aventure.
Le parcours de la Mini Transat
de 4400 milles (
Le concept de cette course, dénommée «Mini-Transat » du fait de la taille imposée des bateaux, est un véritable défi : une traversée de l’Océan Atlantique en solitaire, sans assistance extérieure, sur un voilier de 6,50m : La plus solitaire des transats.
Aujourd’hui, la première phase de construction et d’équipement du bateau est terminée… 1ère course en double réussie, premières longues navigations en solo, améliorations du bateau... 3 courses majeures du circuit Mini sont au programme de 2010 !
Cette Aventure est un défi à la fois sportif, technologique… mais également humain. C’est pourquoi mon bateau portera haut les couleurs de l’Association La Touline. Etant officier de Marine Marchande, je suis très touché par leur travail et conscient de sa difficulté. C’est un honneur et un plaisir de les soutenir !
Planning 2010
Mars : mise à l’eau du bateau, convoyage jusqu’à Locmiquélic (Lorient) son port d’attache, entrainements et validation des améliorations apportées cet hiver.
Week end de Pâques : Spi Ouest France
14-18 avril : Open Demi Clé : course en double de 150 milles entre Locmiquélic et Pornichet.
18-28 avril : Select 6,50: course en solitaire de 300 milles au départ et à l’arrivée de Pornichet
30 avril – 14 mai : Mini Pavois : course en solitaire de 800 milles : La Rochelle-Gijón ; Gijón-La Rochelle via les Glénans.
Eté : parcours de qualification hors course.
Planning 2011
Avril : Select 6,50: course en solitaire de 300 milles au départ et à l’arrivée de Pornichet
Septembre-octobre : Transat 6,50 Charente Maritime-Bahia : 4400 milles en solitaire à travers l’Océan Atlantique.
Contact : Brendan ARCHIN 06.11.65.68.53
Blog : revedelarge.blogspot.com
Voir la lettre d'informationdans Accueil, Actualité | Lien permanent